La Visionairs Gallery a pour fondement le retour aux valeurs justes de l’art, trois éléments fondamentaux :

L’éthique artistique : créer en conscience. L’œuvre doit avoir intrinsèquement une finalité sociale responsable.

L’acceptation de l’oeuvre dans ce qu’elle peut véhiculer, y compris et surtout dans sa différence.

L’esthétisme : l’œuvre d’art doit engendrer une réflexion sur l’harmonie de l’esthétisme dans le domaine de l’art, réservoir inépuisable du beau sous différentes formes.

Visionairs Gallery veut favoriser ce retour aux « fondamentaux » en soutenant les artistes désireux de revenir à la source de la création, à savoir le plaisir de la création où le public est amené à voyager, à s’interroger, à revisiter son époque.

A travers la photographie, Visionairs Gallery donne la possibilité aux artistes de distordre ce médium pour créer une nouvelle forme de captation. L’artiste dépasse la photographie pour aller au-delà de la captation d’un moment.

Ce médium devient le témoin d’un temps, d’une époque, d’une pensée. Il engendre la discussion, le questionnement, le débat. L’une des idées prédominante chez les artistes de Visionairs Gallery : « fédérer à travers l’art ».

Chez Visionairs Gallery, l’art n’est pas qu’un placement, un facteur de spéculation financier. L’art est facteur de jouissance artistique. Il est porteur d’idée.

Visionairs Gallery veut contribuer à faire renaître l’époque où l’art constituait un reflet de la société et où l’artiste était un journaliste objectif de son temps.

Chez Visionairs Gallery, les œuvres sont autant de plaidoyers contre un art dénaturé par la finance. La ligne éditoriale de Visionairs Gallery tient en trois mots : humain, humanisme, HUMAN ART.


jeudi 14 avril 2011

Exposition de Niclas Castello

NICLAS CASTELLO
Exposition du 3 au 21 mai 2011 à la Visionairs Gallery






Un artiste au parcours surprenant

 Fils d'une famille ouvrière de l’ancienne RDA.,Niclas Castello, return artist iconoclaste, a une formation de mécanicien automobile. De plus en plus fasciné par le monde des arts, et inspiré par les défilés de mode de Paris, il a monté sa première collection "la passerelle" en 1998, influencé par les œuvres  de Dali, Warhol et Lichtenstein.
En 2002, de retour en Allemagne, il continue dans la voix artistique. C’est à  New York, où il a vécu avec la célèbre artiste Arleen Schloss,.qu’il découvre  sa passion pour des sculptures faites de matériaux issus de la consommation .


Un univers original

Fasciné par les épaves de voitures, Niclas les transforme en sculptures inspirées. Dans toutes ses œuvres, cet artiste polyvalent fait appel à la féminité et l'attraction sexuelle, voulant transmettre un message de beauté et d’évanescence.
L’artiste exprime dans sa série « Forbidden » un désir de l’interdit, qui s’accroit avec le temps.



Détournant des objets du quotidien, Niclas Castello sait introduire une attirance sensuelle et colorée dans ces épaves de notre société consumériste.  



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